Charlton is gone
The Ten commandments, Ben-Hur, Planet of the apes, Beneath the planet of the apes et Earthquake sont tous des films qui ont bercé ma jeunesse et qui pourront facilement être dans ma jeune chronique Nostalgie sur pellicule. Cependant le héros de ces films est aussi celui de mon enfance, Charlton Heston. Il est au centre sur la photo de la troublante scène finale (quel punch!) d'un de mes films préférés à vie, Planet of the apes (1968). Malheureusement, Heston nous a déçus terriblement dans le documentaire-choc de Michael Moore, Bowling for Columbine. En tant que président de la National Rifle Association, Heston était tellement bouché par Moore qu'il déserta bêtement les caméras, ne sachant quoi dire. Mais comme il est aussi un être humain, je lui dit adieu quand même.
5 commentaires:
À lundi 7 avril 2008 à 21 h 58 min 00 s HAE , Anonyme a dit...
C'est bizarre parce que je suis habituellement toujours très émue lorsque des légendes nous quittent. Mais malheureusement aucune émotion ne m'étreint pour Charlton Heston et je crois que ça vient du fait que son opinion sur le port d'arme éclipse sa carrière cinématographique.
À lundi 7 avril 2008 à 22 h 48 min 00 s HAE , Anonyme a dit...
Même opinion que venusia, mais effectivement quelle scène que la dernière de planet of the apes, je me suis d`ailleurs procuré la série complete des films récemment (au moment des retours en fait), merci au 30% de rabais employé...
Steph VA-68
À mardi 8 avril 2008 à 12 h 14 min 00 s HAE , Jean et les siens a dit...
Idem que pour Venusia et Steph Va-68.
À mercredi 9 avril 2008 à 19 h 45 min 00 s HAE , Anonyme a dit...
Jean, tu t'es aussi acheté le coffret?
Il me le faut!
À mercredi 9 avril 2008 à 20 h 12 min 00 s HAE , Anonyme a dit...
Moi non plus je n'étais pas ému. J'ai seulement eu envie d'en faire un post.
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