Le Monde de Druminick

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lundi 4 juin 2007

Mes Légendes du rock vol. 47

N'ayant pas fait quelque chose d'hyper-remarquable avec sa carrière solo, on devra dire adieu à Ringo Starr pour ces chroniques de Mes Légendes du rock. Désolé Ringo, affaire classée.

Aujourd'hui, on se penchera surtout sur le Beatle qui voulait bouger l'humanité, John Winston Lennon. Outre ses trois albums de bruitages et de collages enregistrés avec sa femme Yoko Ono en 1968-69 (supposément inécoutables), sa véritable carrière solo débute avec l'album Plastic Ono band (1970) qui contient des classiques comme Working class hero, Isolation, ses deux cris d'amour-haine à sa mère l'ayant un peu abandonné, soit Mother et My Mummy's dead, ainsi que God dont je vous suggère d'aller voir les paroles révélatrices.



L'album suivant devient immédiatemment son second classique, Imagine (1971) avec ses Gimme some truth, How do you sleep (avec ses références en jeu de mots à son ex-collègue, Paul McCartney) et l'intemporelle chanson-titre qui, finalement, représente à elle seule le message que Lennon voulait véhiculer, bien qu'il ne l'a pas toujours lui-même mis en pratique.


Après quelques albums très moyens et son album de reprises intitulé simplement Rock 'n' roll, Lennon se retire temporairement de la musique et des médias en 1975 pour se consacrer à sa famille qui inclut son nouveau-né, Sean. Julian, son premier fils né de sa première femme, aura été plus délaissé par son père. Il ira même dire que McCartney aura été plus un père pour lui que John. McCartney écriva Hey Jude pour lui. Alors que Lennon se fait assassiner le 8 décembre 1980 par un illuminé, son album comeback enregistré avec sa femme, Double fantasy, se fait ressentir sur toute la planète grâce à des chansons qui sont devenues classiques comme Starting over, Woman et Watching the wheels. Sa perte est encore de nos jours un évènement majeur de la musique moderne.


Mes recommandations : Plastic Ono band est mon album préféré, suivi de Imagine. La compilation parfaite serait, d'après moi, Working Class Hero: The Definitive Lennon.

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